Les Duplo, bâtisseurs de liens dans les 1000 premiers jours

Les jouets jouent un rôle crucial dans le développement des enfants. Parmi eux, les Duplo, ces blocs de construction emblématiques de la marque LEGO®, se distinguent par leur simplicité, leur sécurité et leur potentiel éducatif. Conçus spécialement pour les enfants de 1 an et demi à 5 ans, ils ne sont pas seulement des objets de jeu, mais de véritables outils d’apprentissage.
Je suis papa solo, et je veux vous raconter pourquoi ces petites briques ont marqué la petite enfance de ma fille Émie, et comment elles ont aussi construit une partie de notre lien père-fille.
Les spécialistes de la petite enfance parlent souvent des 1000 premiers jours de vie comme d’une période essentielle pour le développement du cerveau, des émotions, et du lien affectif. Ces moments-là façonnent une vie entière. Moi, je ne les ai pas vraiment connus : ma mère est décédée alors que j’étais tout petit. Cette absence, ce manque précoce, a laissé une empreinte silencieuse mais bien réelle. Mon père a dû s’occuper également de mon frère et de ma soeur aînés; les enfants de son premier mariage. Et il a rénové sa maison en fin de journée après son travail de 8 heures, parfois à enchaîner des postes différents sur la semaine. Je sais ce que signifie grandir avec un vide émotionnel, ainsi que de se fonder sur des éléments qui paraissent fragiles.
C’est précisément pour cela que j’accorde tant d’importance à ces instants avec ma fille. Les Duplo ne sont pas que des briques colorées dans notre salon : ce sont des ponts. Ils ont permis à Émie d’exprimer ses émotions, de développer sa motricité, sa patience, son imagination. Et à moi, ils m’ont donné l’occasion de m’asseoir à ses côtés, de l’écouter, de rire avec elle, de vivre pleinement l’instant. J’ai pu sentir la résilience sur le passé, et ainsi guérir mon âme avec des instants simple et utiles pour mon état d’esprit.
Je ne pourrai jamais rattraper ce que j’ai perdu enfant, mais je peux choisir d’orner le présent avec elle, comme on décore un château en Duplo brique après brique. Ces moments simples sont devenus nos repères, nos trésors.
Alors oui, ces blocs ont une forme simple, mais leur pouvoir est immense. Ils construisent bien plus que des tours ou des maisons : ils bâtissent des souvenirs, des racines et des liens qui durent. Et puis, la vie continue. Je m’ en aperçois avec le recul, surtout que je suis papa.
Je vous confirme aussi que nous pouvons être un bon parent quelque soit son passé, son parcours. Votre enfant vous regarde au présent. A vous de jouer.
1. Une sécurité optimale pour les plus petits

Quand ma fille avait à peine 18 mois, elle découvrait le monde à travers ses sens : ses mains, sa bouche, ses yeux grands ouverts sur tout ce qui l’entourait. À cet âge-là, tout passe par l’expérimentation directe. Le moindre objet devient une aventure, un test, une découverte sensorielle. Et comme tout parent d’un très jeune enfant, je me souviens de cette vigilance constante : est-ce que ce jouet est trop petit ? Trop dur ? Trop complexe ? Est-ce qu’il pourrait lui faire mal, ou lui échapper des mains ?
Les Duplo m’ont rapidement rassuré. Ces blocs, aux formes généreuses et sans arêtes vives, étaient parfaits pour elle. Ni trop lourds, ni trop fragiles, ils résistaient à tout : aux chutes, aux mordillements, aux jets impulsifs quand elle s’énervait. Je me souviens d’un moment très simple, mais marquant. Elle avait laissé tomber une brique rouge par terre, puis l’avait ramassée aussitôt pour la porter à la bouche. J’ai eu un petit pincement, ce réflexe de parent protecteur… puis j’ai souri. Elle ne risquait rien. Ce jouet avait été conçu pour ce moment précis : la découverte à la bouche, l’exploration en toute sécurité, même si un sol n’est jamais propre à 100 %.
Les souvenirs d’émotions vives de partage me rappellent la puissance et la joie qu’ils ont engendré sur moi, et j’invite chaque parent solo à se remettre dans un état de ce genre pour continuer son chemin. Souvenez vous du meilleur!
À cette époque, je partageais encore mon quotidien avec mon ex-conjointe. Elle avait déjà deux enfants d’une précédente union, et je voyais combien elle était attentive à chaque détail. Elle avait validé les Duplo sans hésiter. Son regard de maman expérimentée me rassurait. Je lui faisais confiance. Moi, jeune papa encore un peu maladroit, j’apprenais à lire les besoins d’un enfant au fil des jours.
Aujourd’hui, ce souvenir me touche encore. Parce qu’il parle d’un instant tendre, mais aussi de ce que chaque parent cherche profondément : offrir à son enfant un espace sûr pour grandir. Et pour moi, à travers ces petites briques colorées, c’était aussi une manière de prendre ma place, de construire ma confiance, et de poser les premières pierres d’un lien qui allait durer toute une vie.
2. Un outil éducatif complet pour stimuler le développement

a) Motricité fine : construire avec ses petites mains
Au début, Émie saisissait les Duplo avec toute la maladresse d’un petit corps en apprentissage. Ses doigts étaient encore ronds, potelés, parfois tremblants d’excitation ou de frustration. Elle empilait les briques sans logique apparente, mais avec un enthousiasme débordant. Chaque tentative devenait un défi : faire tenir deux briques sans qu’elles ne tombent, aligner une couleur avec une autre, ou essayer de reproduire ce qu’elle voyait sur la boîte. Souvent, elle pestait quand ça ne tenait pas. Mais au fil des jours, j’ai vu un changement. Ses gestes devenaient plus précis. Elle prenait le temps d’aligner, d’appuyer juste ce qu’il faut. Je la voyais concentrée, la langue sortie, absorbée par sa mission. Ce matin d’hiver avec ses peluches était symbolique : elle n’était plus simplement en train de jouer, elle transmettait. J’ai compris que ces gestes, aussi simples soient-ils, étaient les bases de son autonomie et de sa confiance. C’était sa manière de grandir.
b) Créativité : quand l’imaginaire devient concret
Les Duplo ont ouvert à Émie un monde sans frontières. Une simple brique rouge pouvait devenir un dragon, un pont, ou une voiture de course. Très vite, elle a donné vie à des univers que moi-même je n’aurais jamais imaginés. Un jour, un bateau voguait vers une île au trésor, le lendemain, c’était un parc pour ses animaux en plastique. Et au cœur de ces récits, il y avait toujours une place pour nous deux. Le train Duplo qu’elle avait reçu pour son premier anniversaire est resté longtemps son préféré. Ce jouet, c’était bien plus qu’un véhicule à roulettes : c’était un outil magique pour voyager dans son imaginaire. Je me laissais porter dans ses histoires, dans ses montagnes et ses châteaux, heureux de partager ces moments suspendus. En tant que papa solo, ces instants où je devenais un héros de son monde étaient précieux, car ils scellaient un lien émotionnel inestimable, sans effort, juste avec de l’amour et des briques.
c) Couleurs, formes et chiffres : un apprentissage naturel
L’un des aspects les plus surprenants avec les Duplo, c’est leur potentiel pédagogique sans même en avoir l’air. Émie les manipulait pour jouer, mais elle apprenait à chaque instant. Les couleurs vives captaient son regard : rouge, jaune, vert, bleu… très vite, elle a commencé à les nommer, puis à les trier. Je me souviens d’une période où elle ne voulait faire que des tours « arc-en-ciel », avec les couleurs dans un ordre précis. Un jour, elle m’a dit : « Regarde, les briques rouges ! », fière comme tout. Elle comptait les plots, testait des équilibres, comparait les tailles. Sans se rendre compte du temps, elle a commencé à reconnaître les couleurs. Les Duplo étaient devenus ses premiers outils de réflexion. Et moi, j’étais là pour répondre à ses mille questions, encourager, applaudir. Ce n’était pas une leçon, c’était un jeu. Et c’est ainsi qu’elle apprenait le mieux : en jouant avec ce qu’elle voulait.
3. Un jouet évolutif qui grandit avec l’enfant

Les Duplo ont accompagné ma fille Émie pendant des années. Ils n’ont jamais été de simples jouets posés dans un coin du salon, mais de véritables compagnons d’enfance. À 18 mois, elle les attrapait à deux mains, les tapait joyeusement l’un contre l’autre avec de grands éclats de rire. Elle les explorait avec ses sens : les touchait, les mordillait, les empilait, puis les faisait tomber dans un éclat de joie. C’était brut, instinctif, mais déjà plein de vie.
À 3 ans, un cap avait été franchi. Fini les assemblages hasardeux. Elle construisait des maisons, des fermes, des ponts et des écoles. Les fenêtres devenaient des yeux pour ses histoires. Les animaux prenaient vie dans des zoos improvisés. Chaque création racontait un bout de son monde intérieur. Je me souviens d’un après-midi où, concentrée, elle fabriqua un grand bateau multicolore. Elle leva les yeux vers moi et déclara : « C’est pour partir en vacances avec papi et mamie ! » Elle venait de recréer, en silence, un souvenir précieux : celui d’un été passé en camping-car, au bord d’un lac. Par ses briques, elle prolongeait ce bonheur vécu, en lui donnant forme.
Vers 5 ans, son univers s’est enrichi. Les Duplo cohabitaient avec les LEGO classiques, les Playmobil et les figurines Disney. Les grandes briques formaient les bases du décor, les petites apportaient les détails. Je la voyais mélanger les genres avec une liberté artistique admirable. Une école de princesses, un château-jungle, un cirque volant : rien ne semblait impossible. Les animaux sauvages, les chevaliers, les fées et les personnages de contes vivaient ensemble des aventures extraordinaires.
Mais ce qui me touchait le plus, c’est que malgré la complexité croissante de ses jeux, les Duplo restaient le socle de son imagination. Ils étaient là, fidèles, solides, comme des repères affectifs qu’elle n’oubliait jamais. Et moi, je savais qu’à travers eux, elle bâtissait bien plus qu’un monde de plastique : elle construisait ses souvenirs, son langage, sa mémoire émotionnelle… et une enfance heureuse.
Je me souviens qu’elle regardait parfois par la fenêtre ouverte, dès que les beaux étaient revenus, puis elle avait montré un insecte avec le doigt tendu. « C’est une abeille » lui avais-je dit!
4. La Communication par le Jeu

J’avais souvent joué avec ma fille, à genoux sur le tapis en essayant mes douleurs de dos; vous savez ces légères sensations que vous avez désormais passé le cap en étant papa. C’est comme si votre enfant vous dit: « Hé, je ne t’ai pas vu de la journée, alors tu as plutôt intérêt à faire attention à moi. » Et vous n’avez pas le choix que de sourire, c’est obligatoire sous peine de vous renverser tous les jouets par terre sans se préoccuper de maman qui râlera.
Par conséquent, j’ai eu les mains pleines de Duplo, à construire des univers qui n’existaient que pour nous. Elle avait cette façon de distribuer les rôles avec sérieux et imagination : « Toi, papa, tu fais le pont. Moi, je fais la princesse. » Elle me confiait un personnage, une mission, une place dans son monde. Parfois, son frère ou sa sœur venait se joindre à nous. Et même s’il y avait parfois des disputes pour une brique précise ou un animal en plastique trop convoité, il y avait surtout des rires, des histoires inventées, des alliances inattendues.
Mais tous les jeux ne se terminent pas dans la joie. Un après-midi d’automne me revient en mémoire, comme une photo encore vive. Les feuilles tombaient dehors, et elle s’était installée au milieu du salon, concentrée. Elle avait construit une grande tour, bien plus haute que les autres fois. Elle l’avait appelée « son château magique ». Elle avait mis du cœur, du temps, des couleurs bien choisies. Et puis, dans un mouvement maladroit en se relevant, elle a trébuché. La tour s’est écroulée en un bruit sec.
Elle est restée figée une seconde… puis ses yeux se sont remplis de larmes. Elle s’est effondrée dans mes bras, bouleversée. « C’était mon château, papa ! » J’ai senti dans sa voix cette douleur d’enfant que nous, adultes, oublions trop vite : celle d’avoir vu s’effondrer ce qu’on avait mis tant d’amour à bâtir.
Alors je l’ai serrée fort. Et je lui ai murmuré : « On va le reconstruire ensemble. Encore plus beau. » Elle a levé les yeux, hésitante… puis a hoché la tête.
Et c’est ce que nous avons fait. Brique après brique, en parlant, en riant. Ce château reconstruit, il n’était pas juste plus solide. Il était plus doux, plus fort de notre lien, de notre patience, et de cette leçon que même les châteaux peuvent tomber… mais qu’ensemble, on peut toujours les relever. Et ils peuvent encore plus beau. La vie est un peu comparable, si bien que vous pouvez l’imaginer avec moins de tracas. C’est facile de résoudre un tracas, demandez à votre enfant, car il sait comment faire. Serrez le dans vos bras, il vous sourit et il continue comme si aucune catastrophe n’était arrivée. Aimez le et il vous le rendras bien.
5. Des thèmes variés qui captivent les enfants

La ferme, les trains, les animaux, les princesses… Il existe des Duplo pour tous les goûts, pour toutes les histoires que les enfants inventent avec leur cœur. Chez nous, chaque univers prenait vie selon les envies d’Émie. Mais s’il y en a un qu’elle a particulièrement adoré, c’est celui des animaux. Etant donné que nous vivons dans une zone rurale, la vie est encore plus réaliste lorsqu’elle envoit des vrais. Les enfants adorent les animaux, et c’est une manière intéressante de les sensibiliser par exemple en caressant un cheval; c’est un animal très sensible aux émotions humaine. Je me souviens que sa cousine l’as invitée à passer son cinquième anniversaire au Piroué, non loin d’Essey-lès-Nancy. C’est un domaine équestre où les personne peuvent monter sur des chevaux en faisant une promenade lors des beaux jours ou être sous un abris réservé pour le travail des chevaux.
Souvent, nous avions fait des promenades sur les chemin, non loin de la forêt et des champs, et lorsqu’elle voyait aussi une vache, un canard ou un chat en Duplo, ses yeux pétillaient. Elle s’installait sur le tapis, alignait soigneusement les animaux, et se lançait dans de grandes scènes de la vie à la ferme. Elle imitait les bruits avec application : « Coin coin », « Meuh », « Miaou ». Et parfois, elle faisait parler les animaux avec des voix toutes plus folles les unes que les autres. Les vaches avaient un accent du sud, les chats parlaient comme des magiciens, et les cochons faisaient des blagues. Je riais à m’en faire mal au ventre. C’était un vrai spectacle, un moment suspendu entre son imaginaire et notre complicité.
Puis un jour, je lui ai offert un carton de Duplo avec une ferme. Elle l’attendait depuis longtemps. Il y avait l’abri, les animaux , et bien sûr le paysan. Ce soir-là, elle a posé lapin au bord de la baignoire – bien sûr hors de l’eau, car « il faut pas mouiller les Duplo, papa » – puis elle a mis en scène quelque chose d’inattendu. Avec une voix douce, presque solennelle, elle a dit : « Le lapin cherche son papa. Elle le retrouve et il fait des câlins. » Puis elle a mimé l’étreinte, en serrant les figurines l’une contre l’autre.
Je suis resté là, sans bouger, profondément touché. À travers cette petite scène, elle ne jouait pas simplement avec des jouets. Elle racontait une émotion. Une histoire intérieure. Notre histoire.
Dans ce radeau, dans ces câlins mimés, elle mettait des mots sur ses besoins, ses rêves, ses souvenirs. Et moi, en l’écoutant, je comprenais qu’à travers chaque brique, chaque mise en scène, elle construisait bien plus qu’un décor : elle construisait nous.
6. Une transition en douceur vers la première rentrée à l'école et rencontrer d'autres enfants de son âge en crèche ou à la maison

Vers 4 ans, Émie a commencé à s’intéresser aux LEGO de son grand frère. Elle voyait ces petites pièces aux formes plus complexes, aux détails plus fins, et cela l’intriguait. Un matin, elle m’a dit : « Papa, je veux essayer les LEGO de mon frère. » J’ai hésité, pensant qu’elle était encore un peu petite pour les manipuler… mais je l’ai laissée faire, en gardant un œil bienveillant.
Ce qui s’est passé ensuite m’a fasciné. Elle n’a pas simplement abandonné ses Duplo. Elle a mélangé les deux mondes, avec une logique bien à elle. Un éléphant Duplo s’est retrouvé perché dans un château LEGO miniature, Elsa en robe bleue conduisait un train aux wagons multicolores, et un petit bonhomme LEGO faisait la cuisine dans une ferme Duplo pleine de vaches géantes.
Elle adorait faire et défaire. Chaque montage était une construction éphémère, suivie d’une nouvelle histoire. Elle riait, démontait tout, puis recommençait, encore et encore. Et moi, j’étais là, à plat ventre sur le sol, à ramasser les pièces tombées sous le canapé, à remettre la main sur la tête d’une figurine ou sur une roue perdue. Et je souriais. Parce que je voyais ma fille créer, rêver, tester, et s’affirmer dans son imaginaire.
Aujourd’hui encore, alors qu’elle est plus grande, qu’elle lit ses propres livres et construit des choses plus complexes, elle garde ses Duplo dans une boîte spéciale. C’est une boîte qu’on n’a jamais osé ranger pour de bon, comme si elle contenait un morceau de notre histoire. Parfois, sans prévenir, elle l’ouvre. Elle sort quelques briques, les assemble, crée une scène.
Elle ne joue plus comme avant, mais elle s’arrête un moment. Elle observe, sourit, replace une brique. Et je comprends que ce n’est pas juste un jouet qu’elle manipule, mais un souvenir. Une trace douce de ses premières années, de notre lien, de tout ce que nous avons construit… ensemble.
7. Un excellent rapport qualité-prix

Quand on est parent solo, chaque achat compte. Chaque euro investi dans un jouet, un livre, une activité, c’est une décision réfléchie. On veut faire plaisir, bien sûr, mais on veut surtout que ce soit utile, durable, qu’il y ait un vrai retour : un sourire, un moment de calme, un apprentissage, un souvenir. Alors, quand j’ai découvert les Duplo, je ne pensais pas que ces blocs colorés allaient prendre autant de place dans notre quotidien.
Et pourtant, je les ai vus traverser les années sans jamais faillir. Ils ont résisté à tout : les chutes du haut de la table, les baves de bébé quand Émie les mettait à la bouche, les baignoires improvisées où elle voulait faire « nager les briques », les sacs de voyage trop pleins, les déménagements, les oublis dans la voiture en plein été… Rien ne les abîmait. Ils étaient toujours là, solides, colorés, compatibles avec les nouveaux comme les anciens. C’est rare, un jouet qui dure autant.
Mais les Duplo ont aussi traversé les tempêtes émotionnelles. Ils ont accueilli ses moments de joie intense, de fierté devant une tour réussie, mais aussi ses colères quand tout s’écroulait, ses larmes quand une pièce manquait. Et moi, j’étais là, à chaque fois, pour reconstruire avec elle, pour consoler, pour l’écouter. En vérité, ces petites briques ont été bien plus que du plastique coloré : elles ont été un fil conducteur dans notre relation, un terrain neutre où l’on se retrouvait, père et fille, loin des écrans, loin des soucis.
C’est un investissement que je referais les yeux fermés. Elles ne m’ont jamais trahi. Mieux encore, elles m’ont aidé à transmettre des valeurs à ma fille : la patience, la persévérance, le droit à l’erreur, l’importance de reconstruire quand tout s’effondre, la joie simple de créer avec ses mains.
Et dans ce monde qui va si vite, où tout semble jetable et remplaçable, ces briques m’ont rappelé qu’il existe encore des choses simples, durables et profondément précieuses.
8. Une marque porteuse de valeurs fortes

J’apprécie que LEGO® ne soit pas simplement une marque de jouets, mais aussi un acteur engagé dans le développement durable et l’éducation. Dans un monde où tout va très vite, où les objets sont souvent fabriqués pour être consommés puis oubliés, c’est rassurant – en tant que parent – de soutenir une entreprise qui pense à l’avenir, à la planète, et surtout aux enfants. Acheter des Duplo ou des LEGO, ce n’est pas juste acheter un jeu : c’est faire un choix qui a du sens.
J’ai le sentiment que derrière chaque boîte, chaque petite brique, il y a une intention : celle de contribuer à l’éveil de l’enfant, à sa créativité, à sa capacité à imaginer et construire. En tant que papa solo, je suis particulièrement attentif à ces valeurs. Je veux transmettre à ma fille autre chose qu’un simple divertissement : je veux lui offrir des outils pour grandir avec confiance et conscience.
Ma sœur Rachel, qui a toujours eu un vrai don avec les enfants, a joué un rôle important dans ce parcours. C’est elle qui a offert à Émie ses premiers LEGO princesses. Elle avait repéré le coffret parfait, avec de petites pièces colorées, des personnages magiques, et ce petit supplément de rêve qui fait toute la différence. Même si Émie était encore un peu jeune pour manipuler des pièces aussi petites, elle s’y est immédiatement intéressée.
Je me souviens encore de ce moment. Émie a ouvert la boîte, pris une brique, puis une autre. Elle ne comprenait pas encore toutes les instructions, mais elle voulait assembler, essayer, comprendre. Et surtout, elle ne s’est pas découragée. Elle s’appliquait, le regard concentré, la langue légèrement sortie, comme si elle savait que ce geste, aussi simple soit-il, avait de l’importance.
Et moi, en l’observant, j’ai vu autre chose que du jeu. J’ai vu le début de la persévérance, de la patience, de cette force tranquille qui lui servira toute sa vie. Une brique après l’autre, elle apprenait déjà à ne jamais abandonner.
9. Des témoignages qui résonnent

Je ne suis pas le seul à le penser : les Duplo ont quelque chose de magique. Dans les discussions entre parents, autour d’un café ou à la sortie de l’école, le sujet revient souvent. Un jour, un papa m’a dit en souriant : « Mon fils peut rester calme une heure entière avec ses Duplo. Il est concentré, il invente des histoires, il réfléchit à comment les emboîter. » Je me suis reconnu tout de suite dans ses mots. Et je lui ai répondu naturellement : « Oui, c’est pareil chez moi. »
Il y a quelque chose de presque méditatif dans ces jeux de construction. On les croit simples, mais ils font appel à tant de choses : l’attention, la motricité, l’imaginaire, la logique. Et surtout, ils permettent à l’enfant de s’exprimer, de construire quelque chose de ses propres mains, à son rythme.
Ce n’est pas seulement à la maison que j’ai vu ça. À la crèche aussi, les éducateurs me faisaient souvent des retours. L’une d’entre elles m’avait dit un jour, avec un regard complice : « Émie est très créative, elle adore construire. Dès qu’on sort les Duplo, elle s’installe, elle est dans son monde. » Elle imitait les animaux, plaçait les personnages dans des scènes qu’elle inventait, plaçait des barrières autour des fermes, faisait des histoires avec trois briques et une vache.
Je leur expliquais que c’était aussi notre rituel à la maison. Une routine douce, sans pression. Souvent après le goûter, on sortait la boîte, on s’installait au sol. Parfois on parlait, parfois non. Mais ce qui comptait, c’était d’être là ensemble. Dans ces moments, il n’y avait ni écran, ni téléphone, juste le bruit des briques qui s’emboîtent, les petits « ah ! » de surprise, les fous rires, les regards partagés.
Et je crois que ces moments-là, même silencieux, ont fait beaucoup pour notre lien. Parce qu’on construisait plus qu’un jeu : on construisait du calme, de la confiance… et des souvenirs.
Conclusion : Briques après briques, on construit des souvenirs

Les Duplo ne sont pas de simples jouets. Ce sont des ponts entre générations, des passerelles entre imagination et apprentissage. Ils sont à la fois ludiques et pédagogiques, et surtout, ils créent du lien.
En tant que papa solo, je vous le dis sincèrement : ne sous-estimez jamais ce que vous pouvez vivre avec votre enfant autour d’un tapis de jeu. Ce ne sont pas des moments perdus. Ce sont des briques qui s’assemblent pour former quelque chose de bien plus grand : une relation, une mémoire, une complicité.
Les Duplo nous ont offert ces moments. Et ils peuvent vous les offrir aussi.
Alors, papa, maman, ou parent solo… mettez-vous à genoux, prenez une brique rouge, une bleue, une verte… et construisez le monde de votre enfant, main dans la main.
À bientôt,
Geoffrey – votre conseiller parental,
et papa de la merveilleuse Émie.